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Pour entamer cette nouvelle journée en douceur mais surtout par une belle découverte, MARVETT accueille les premiers festivaliers à Tribord. Le gagnant du Tremplin 2022 de Ronquières nous présente ses titres tant pop-rock et mélancoliques qu’inspirés et mélodieux.

© Jérémie Piasecki

De l’autre côté du plan incliné, la plume d’un autre poète prend le relais. LE NOISEUR fait connaissance avec son premier public belge. D’abord timide, celui-ci reprend vite ses bonnes habitudes et prouve une fois de plus à quel point nous sommes réceptifs. L’artiste, tout en rythme et en humour, nous offre même un moment de méditation. Oui, vous avez bien lu ! Mais pour en savoir plus, il faudra le découvrir en catimini très bientôt.

© Jérémie Piasecki

On ne vous la présente plus tant elle écume les scènes des festivals, la chaleureuse et dynamique DORIA D fait monter la température d’un cran. Comme si ça n’était pas suffisant, alors que nous passons à Bâbord, BANDIT BANDIT débarque et menace grandement de mettre le feu à la plaine tant la foule s’enflamme. Un look qui, à l’image de leurs compositions, est envoutant, sans pudeur et totalement rock. Quelle énergie!

© Jérémie Piasecki

Ils montent sur scène à « Taille humaine » mais comment estimer la grandeur d’artistes qui comme eux sont humbles et véritablement du « Genre humain »? Vous l’aurez sans doute compris, c’est le duo belge DELTA qui revient à Ronquières pour émoustiller nos tympans.

© Jérémie Piasecki

C’est ensuite l’amoureux des mots NOE PRESZOW qui vient toucher le coeur des festivaliers du bout de ses textes. Dans « Cette route-là », il nous parle « d’une confiance à retrouvé ». Nous qui l’avons rencontré l’été dernier, on vous le confirme : le bruxellois a gagné en assurance et s’affirme de plus en plus !

© Jérémie Piasecki

Connue pour être la gagnante de la huitième saison de The Voice Belgique, c’est CHARLES qui prend place à Tribord. Elle nous confie être une habituée du festival, présente depuis ses 13 ans !

© Jérémie Piasecki

S’enchaineront ensuite : LOUANE, HOSHI et EDDY DE PRETTO. La première apparaît comme une Alice au pays des Merveilles des temps modernes, toute de strass vêtue. Il est d’ailleurs déjà 19h à Ronquières quand elle chante « Midi sur Novembre ». La seconde, attendue par une horde de fan, les comble en reprenant ses plus gros hits. Le dernier monte sur une scène devenue monochrome et semble avoir peint en vert son décor : la lumière, les instruments, le micro et même son short !

© Jérémie Piasecki

La nuit est tombée mais, alors que les étoiles brillent haut dans le ciel, se dévoile l’astre solaire de cette soirée. JULIEN DORE rayonne de la semelle rouge de ses chaussures au sommet de sa crinière emblématique. Cette bête de scène, déjà présente à la première édition, nous fait vivre un show aussi inoubliable qu’à son habitude. Ce quatrième passage sur la plaine nous donnait vraiment l’impression de fêter, en grande pompe, l’anniversaire de Ronquières.

© Jérémie Piasecki

Nos bourlingages du jour s’arrêtent là mais on ne doute pas une seule seconde que SYNAPSON aura donné, aux derniers festivaliers à tenir debout, un début de nuit déjanté.

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